Chacun a/à sa place

*Chacun a/à sa place* – #episode5

Vous le savez peut-être si vous avez suivi mes péripéties de cet été, dans mon job, j’ai eu un rôle de « responsable », rôle auquel je ne m’attendais pas, mais que j’ai accepté, c’était une nouvelle expérience, un nouveau challenge.

Et ça a été super confrontant !

Au début, je ne comprenais pas pourquoi je ne me sentais pas « bien ».

J’ai cru que je n’étais pas à la hauteur.

Je me suis beaucoup remise en question.

Quelques jours après avoir commencé ce nouveau poste, j’ai été à une séance découverte de l’ #equicoaching avec d’autres #entrepreneures , organisée par @unpasadeux .

Et là, j’ai eu un déclic, j’ai compris d’où venait mon mal-être !

Les chevaux me l’ont montré de manière très explicite ! 

Je n’aime pas « diriger », je n’aime pas imposer les choses aux autres, leur dire ce qu’ils doivent faire (tout comme je n’aime pas qu’on me dise ce que je dois faire).

La liberté est tellement importante pour moi que dans mon esprit, j’ai besoin (dans mon idéal), que chacun s’auto-gère, et sente ce qui est bon pour lui, tout en respectant et en prenant en considération les besoins des autres et les nécessités de la situation.

Un ami m’a dit « oui mais il faut bien un chef d’orchestre ».

Certes, mais ce chef d’orchestre, ce n’est pas moi.

Il y a certaines personnes pour qui c’est « naturel », inné d’être un leader, d’être à la tête, de distribuer des tâches, de « gérer » une équipe, de diriger, de mener un groupe.

Pour d’autres, non.

Et j’en fais partie.

Je suis un électron libre.

J’aime que chacun se responsabilise.

J’aime la collaboration, tout en privilégiant l’indépendance de chacun.

C’est ça que j’ai compris grâce aux chevaux.

Si on ne se sent pas bien dans la place que l’on occupe, ce n’est pas forcément parce qu’on n’est pas à la hauteur, c’est peut-être simplement parce que ce n’est pas la nôtre.

Elle est ailleurs.

Et elle est tout aussi importante.